NOTRE AMBITION

DIARMONID reste soucieux du contexte de prise en charge médicale, nous avons pour unique but de répondre positivement à des situations qui n’ont pas de prix comme la santé en se positionnant avec empathie. Nous apportons ce que l’on aimerait qu’on fasse pour nous même ou tout simplement pour préparer et prévenir nos jours prochains.

La vulnérabilité et le stress d’un patient face à sa maladie même avec une chouette équipe et des soins performant reste présente, sachant que le personnel se doit de s’occuper de plusieurs taches et non l’unique de rester au chevet du patient. Nous mettons en place des moyens pour au moins éviter les complications liées à cette période de soins tout en libérant l’esprit des blouses blanches afin d’améliorer leurs efficacités.

Nous avons pour mission de faire en sorte que les patients atteints de maladie chronique pour qui l’acceptation n’est pas évidente puissent avoir une prise en charge globale de sécurité et confort afin d’alléger les problèmes qui s’ajoutent ou arrivent autour de ces maladies à long terme.

TEMOIGNAGES

 » Je viens de brancher mon dernier patient assez âgé mais autonome, installé sur un fauteuil. Je lui propose d’allonger son dossier afin qu’il soit à l’aise, il me répond qu’il sait le faire lui-même ; chose vrai.

Puis je me dirige dans la salle des réserves pour préparer le matériel des prochains patients (ce que font toutes les autres infirmières dès qu’elles terminent leurs branchements). J’entends alors ce patient m’appeler en criant très fort, paniqué et tétanisé de ne pouvoir rien faire en voyant son sang se déverser sur le sol sous le regard des autres patients choqués de la situation.

Heureusement qu’il ne s’était pas allongé 5 mins après… « 

Monique H., Infirmière de dialyse

 » Un patient s’est rendu compte du délogement de l’aiguille veineuse et à appeler l’infirmière. Celle-ci, encore en formation (3^ème année) à effectuer un point de compression pour faire face à l’hémorragie spectaculaire. L’aiguille s’est donc enfoncée dans la fistule artérioveineuse risquant d’endommager celle-ci mais aussi de piquer l’infirmière. Le pire a été évité car le patient aurait pu notamment être porteur du VIH « 

Marie D., Néphrologue

 » La mort d’une patiente insuffisante rénale chronique qui était hospitalisée en service pour une infection, alors que cette patiente se trouvait dans la salle de dialyse « isolement » l’aiguille veineuse s’est délogée et a déversé le sang dans le lit et sur le sol. L’équipe s’en est aperçu lorsque la machine s’est mise à sonner pour dire qu’il n’y avait plus de sang à aspirer. « 

Béatrice F., Infirmière de dialyse